mariposa monarca

jueves, 22 de julio de 2010

Poesie und Prosa


Als „Pausenprogramm” lese ich gerade die Gedichte von Heinrich Heine.


„Es stehen unbeweglich

Die Sterne in der Höh,

Viel tausend Jahr, und schauen

Sich an mit Liebesweh.

Sie sprechen eine Sprache,

Die ist so reich, so schön;

Doch keiner der Philologen

Kann diese Sprache verstehn.

Ich aber hab sie gelernet,

Und ich vergesse sie nicht;

Mir diente als Grammatik

Der Herzallerliebsten Gesicht.“

Mein erster Gedanke: Oh wie schön! Mein zweiter: Moment mal, die Sterne, unbeweglich? Und schon bin ich wieder auf dem Boden der Tatsachen. Na klar, in der Welt Heinrich Heines waren sich die Leute darüber einig, dass die Sterne am Firmament „stehen“ und dass die Planeten „ihre Bahnen ziehen“. Dass die Leute heute anders darüber denken, nimmt diesem Gedicht nichts von seiner Schönheit und Einfühlsamkeit. Und doch bringt es mich nach zwei Gedanken in die Welt zurück, in der Geradlinigkeit und Direktheit in der Rede geschätzt werden. Poesie als kleine Flucht. Es tut gut, für einige Augenblicke in eine „verfertigte Welt“ einzutauchen.



viernes, 16 de julio de 2010

Thank you for sharing

Je me souviens du jour quand j’ai connu ma première amie. J’avais trois ans, et j’étais sortie du jardin sans autorisation; la porte était ouverte. Sur la rue, je me suis tournée vers la droite, et j’ai commencé à marcher. Au coin de notre rue, il y a avait un autre jardin avec une grille et quelques marches devant. Derrière la grille, une fille d’à peu près mon âge me regardait et me demandait « Comment t-appelles-tu? » J’ai lui ai dit mon nom, et j’ai lui ai demandé le lien. Elle me l’a dit, et, en ouvrant la grille, elle a dit « Viens, entre. »
Comme adulte, j’ai peu de rencontres qui se passent avec la même liberté et simplicité. Et pourtant, cela arrive. Un groupe de gens qui se rencontrent, au petit matin, régulièrement, sans pourtant être obligés à le faire. Le rendez-vous est toujours à la même place. Chacun prend son petit déjeuner et s’engage à écouter les autres en échange de partager quelque chose de sa vie à présent. Pas d’évaluations, ni bons conseils font partie de cette conversation qui dure une heure. C’est là où je me retrouve comme personne, sans plus, comme avec la petite fille qui est devenue ma première amie.

miércoles, 14 de julio de 2010

Samba pa’ mí

Gestern Abend, im Park hinter dem Haus. Es hatte geregnet, und in der Dämmerung spannte sich ein blasser Regnbogen über den Strom. Es war so, als öffnete sich der Himmel nach dem Gewitter, und die Sonne ging auf. Um 21.30 Uhr begann das Konzert mit einem Musiker, den ich zu Beginn seiner Karriere gehört hatte und dessen Musik mir nach wie vor mitten ins Herz geht. Was ich zu dieser Zeit nicht wusste ist, dass ich einmal seine Kultur als die meine fühlen, seine Sprache sprechen und die auf der Bühne unübersehbaren Elemente eines Kontextes als vertraut empfinden würde. Die Totenköpfe auf den Becken eines der Schlagzeuger, das T-Shirt eines Musikers mit der Aufschrift „Death is Certain“, das kleine Foto eines Heiligen in der Nähe des Platzes, an dem seine Guitarren standen.

Aber neben der Musik hat mich noch etwas anderes berührt. Die vier Schlagzeuger, der Bassist, die Bläser und die Sänger waren zu der Zeit, als er seine Karriere begann, noch in der Schule. Und doch spielten gestern Abend alle so harmonisch zusammen, als hätten sie die Musik zusammen in diesem Augenblick kreiert. Die Power kam rüber als „Das Leben passiert in diesem Moment“. Und dieses Element von Virtuosität, mit fast beiläufigen und doch beim Hinhören echt und unverwechselbar“, inspiriert und öffnet einen Raum von dem L nachher sagte „Ich fühle mich angenehm leer“.

lunes, 28 de junio de 2010

AURYN
Spätestens seit meinem Abschied aus Dland weiß ich, dass mein Leben eine Reise ist. Diese Woche lese ich einmal wieder „Die unendliche Geschichte“, was mich daran erinnert, dass ich mir, genau so wie alle anderen Wesen, meine Welt selbst erschaffe. Zur Zeit befinde ich mich in dem Tausend Türen Tempel. Ich lasse mich von meinen Wünschen leiten, aber diese Wünsche sollen mich zu meinem Wahren Willen führen. Das ist eine Aufgabe, die BBB so richtig bemerkt hat, die man nicht durch Nachdenken ergründen kann, sondern die man erfahren muss. Eine Tür führt zu den zwei nächsten, und immer so weiter. Ich brauche nur zu wählen und darauf zu vertrauen, dass ich am richtigen Ort ankomme, wenn es soweit ist.

sábado, 26 de junio de 2010

¿A Dios?
Cada vez que estoy por salir de un lugar, de una ciudad, y cada vez que me despido de una persona que aprecio, estoy presente a un dolor. Algunos días, horas, o bien momentos antes siento que mi corazón está latiendo contra la pared de mi pecho, golpeándome fuerte. Siento una resistencia y me escucho pensando “No quiero. ¡No quiero irme!” Sé que no sirve resistir este dolor, ni quiero ahogarlo en mucho ruido. Tampoco quiero ahogarlo en algunos vasos de vino. Este dolor es la expresión del amor y aprecio que tengo para el lugar, la ciudad, la persona. Se me ocurre que puede ser el dolor que siente mi alma en el proceso de extenderse, hasta que … ojalá … pueda incluir a todos los lugares, a todas las ciudades, y a todas las personas. Fuimos a la Fonoteca Nacional, visitamos la exposición “Paisaje Sonoro”, y pasamos un rato el el hermoso jardín de Octavio Paz.

sábado, 19 de junio de 2010

L'histoire d'un pot de mayonnaise et du café.

Quand il te semble qu'il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24 heures ne te semblent pas suffisantes.

Rappelle-toi du pot de mayonnaise et du café.
Il était une fois un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de golf.

Ensuite, il demanda a ses élèves si le pot était plein.

Les étudiants étaient d'accord pour dire que OUI.
Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise.

Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf.

Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein.
Ils dirent à nouveau OUI.
Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise.

Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein.

Les étudiants répondirent unanimement OUI.
Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre les grains de sable.

Les étudiants se sont alors mis à rire.
Quand ils eurent fini, le prof dit :

Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaise représente la vie.

Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui
passionne.
Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles.

Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la maison, la voiture, etc...

Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie.
Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour rien d'autre, ni les billes ni les balles de golf..

C'est la même chose dans la vie.

Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n'aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes.

Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur.

Jouez avec ses enfants, prenez le temps d'aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris.

Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine

Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment.

Établissez des priorités, le reste n'est que du sable..
Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café..

Le professeur sourit et dit :

C'est bien que tu demandes.
C'était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent
paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami.


J’ai reçu un courriel avec cette histoire ce matin. Je la partage avec tous ceux qui visitent mon chez-moi digital.

viernes, 18 de junio de 2010

Es kann der beste nicht in Frieden leben...

Ich denke von Zeit zu Zeit daran, dass ich Dinge gesagt und getan habe, die andere Menschen verletzt haben und zur Folge hatten, dass sie böse auf mich sind. Wenn ich dies bemerke, oder wenn mir dieser Mensch sagt, welche Reaktion mein Verhalten bei ihr oder ihm ausgelöst hat, bitte ich diese Person um Verzeihung. Es gibt aber auch Menschen, die mir nicht mitteilen, welche Reaktion mein Verhalten oder meine Worte bei ihnen ausgelöst haben.

Wie kann ich damit umgehen, ohne mich jeden Tag schlecht zu fühlen? L schlug mir heute eine mögliche Haltung vor, die ich gerne einnehmen möchte. Mein Angebot, diesen Menschen um Verzeihung zu bitten, steht. Und der Betroffene hat die Möglichkeit, dieses Angebot anzunehmen oder nicht. Für mich ist klar, dass dieses Angebot solange steht, bis dieser Mensch mir verziehen hat. Denn nur dann kann sie/ er sich von Ärger und negativen Gedanken befreien. Ich weiß aus eigener Erfahrung welch ein starkes Band Ärger zwischen mir und einem anderen Menschen schafft. Nur wenn ich es schaffe, diesen Ärger loszulassen, kann ich die Beziehung wirklich lösen.

Ich möchte eine Haltung dafür einnehmen, dass alle Menschen die Möglichkeit haben, frei von Ärger und anderen negativen Gefühlen zu leben. Und gleichzeitig weiß ich, dass jeder seines Glückes Schmied ist.