mariposa monarca

lunes, 9 de marzo de 2009


Walzer – hierzulande
Ich habe vor einiger Zeit entdeckt, dass ich mich besser konzentrieren kann, wenn ich ab und zu „die Tapete wechsele“. Es scheint so, als ob ich mit jedem Ortswechsel einen anderen Stand- oder Sitzpunkt einnehme, was mir beim Nachdenken hilft. So mache ich mich, wenn es das Wetter und meine Zeit erlauben, öfter auf den Weg, um „woanders“ zu sein. Unser Garten ist eigentlich groß genug, nur da gibt es wenige Sitzgelegenheiten. Aber in der Nähe unserer Wohnung habe ich zwei Orte entdeckt, die ich sehr gerne besuche. Einer ist das Nationale Aquarellmuseum, wo man neben ein zeitgenössischen Bildern auch einige Kodizes betrachten kann. Der andere, nur wenige Schritte weiter, ist die im vergangenen Dezember eröffnete Fonoteca mit einer Archiv mexikanischer Musik. Hier habe ich letzte Woche mexikanische Walzer entdeckt, von Juventino Rosas und Macedonio Acala zum Beispiel. Am Eingang zur Fonoteca weist ein Schild darauf hin, dass Octavio Paz hier bis zu seinem Tod gelebt hat. Er ist wenige Tag nach meiner Ankunft in dieser Stadt gestorben. Beide Häuser haben übrigens einen wunderschönen Garten, in dem es sich gemütlich sitzen und lesen lässt, in dieser Jahreszeit eher im Schatten als in der Sonne.
Ser mujer
Me educaron para ser mujer, conforme a los genes con los cuales nací. Ahora bien, la manera cómo ser mujer depende del contexto social y cultural dentro del cual estoy viviendo, definida por las reglas no-escritas.
Me recuerdo de una noche de verano cuando estaba paseando por el parque detrás de nuestro edificio. La puesta del sol ya había empezado, y me senté en un banco mirando el río. Paulatinamente sentí sueño y me acosté allí mismo, mirando las estrellas que poco a poco aparecieron en la carpa del cielo. No sé cuando, pero un rato más tarde desperté y me di cuenta que estaba en medio de un parque público, sola, en la oscuridad. Lo maravilloso: no sentí miedo, sino una gran tranquilidad. Mi deseo pare este Día Internacional de la Mujer est que esto fuera posible en la ciudad done estoy viviendo ahora.

martes, 3 de marzo de 2009

Les imprévus – prévus
Depuis mon enfance, j’ai appris l’importance d’être ponctuelle. Chez ma famille, ête ponctuelle voulait dire : On se met d’accord sur une heure précise quand quelque chose – ou bien quelqu’un – va arriver. Arrivée l’heure, cet événement ou bien cette personne se présente. Arriver quelques minutes en avance est apprécié. Par contre, faire des choses « â la dernière minute » fait lever les sourcils chez les autres. Selon la tradition, les personnes avec un diplôme universitaire ont le privilège de pouvoir tarder quinze minutes – pas une seconde de plus, bien sûr. J’y pense des fois, et je me demande des fois comment je pourrais apprendre maintenant de ne pas être à l’heure. La ville où je me trouve à présent est un terrain d’entrainement parfait. Il n’y a pas d’horaire « fixe ». Un exemple sont les buses. Ils attendent au terminus, et une foi que le chauffeur considère qu'il y ait assez de personnes à bord, il part. Cela ne pose pas de problème, parce qu'il en a tellement de buses que pendant la journée, il en arrive toujours un à n’importe quel coin de la rue où je veux en prendre un. La situation se présente différemment dans le cas d’un mécanicien ou bien d’un service de livraison. On m'informe que « l’horaire » est de 9 a.m. à 7 p.m. Et si je veux que mon four soit réparé, ou bien si je veux installer le meuble que j'ai acheté, j'attends à la maison. (Note de l'auteure : Il vaut mieux confirmer avec l’entreprise si la personne arrivera vraiment cette journée-là.)
La phase deux de l’entrainement a commencé cette semaine : Je donne un « l’horaire » mexicain à mes clients et négocie une période pendant laquelle je vais arriver, au lieu d’annoncer une heure « fixe ».