mariposa monarca

viernes, 10 de abril de 2009

Tempus fugit...
Seit einigen Tagen fallen mir zwei Uhren auf, an denen ich hin und wieder vorbei gehe. Die eine hängt in der U-Bahn Station, an der ich auf meinem Nachhauseweg aussteige. Dort war gestern Morgen kurz nach dem Frühstück zu lesen „23:20 – 20. Februar“. Die andere zeigt seit einigen Tagen immer dieselbe Zeit, 17 Minuten vor neun, wobei dies wohl immerhin zweimal täglich als richtig bezeichnet werden kann. Was ist das mit der Zeit? Ich erinnere mich daran, dass R. mir vor Jahren sagte „Die Zeit hier ist elyptisch.“ Ich habe keine Ahnung, was er damit gemeint haben könnte, und wenn er es mir damals erklärt hat, so habe ich es vergessen. Aber das Bild, das ich heute damit verbinde, ist das eines Kerns, des „jetzt“, umgeben von Erinnerungen und Erfahrungen der Welt, die ich zu anderen Zeiten gemacht habe oder machen werde. Im Gegensatz dazu steht das Zeitkonzept, das ich von Kind an gelernt habe. Demzufolge wird die Zeit als Pfeil dargestellt, gewöhnlich von links nach rechts. Des „jetzt“ ist ein Punkt irgendwo auf diesem Pfeil, und ich habe früh gelernt, dass man ihn in Abschnitte unterteilen kann. Große Abschnitte für Jahrhunderte, Jahrzehnte und Jahre, kleinere für Monate, Tage und Stunden. Immer ist jedoch dieser Punkt „jetzt“ die Trennung zwischen dem, was war, und dem, was noch kommt. Welches Konzept ist das richtige? Möglicherweise weder das eine oder das andere. Es kommt wohl darauf an, welchen Aspekt dieser Welt ich erklären möchte.
Mauvaises nouvelles
Hier, on a vue un film de science fiction dont l’histoire raconte l’arrivée des êtres sur notre planète qui veule la sauver – de nous, les êtres humains. Un de ces êtres explique que sa civilisation a observé la Terre depuis longtemps, et on est arrivé à la conclusion que les humains détruisent toute la vie. Les personnes qui entendent cela plaident pour « une chance », et un scientifique dans le film dit « Nous ne changeons pas notre comportement sinon dans une situation dont nous réalisons que nous sommes arrivés presque à la fin. » La question que je me pose aujourd’hui est « C’est combien la distance entre la fin et nous? » Depuis hier et jusqu’à lundi, on a coupé l’eau pour cinq million de personnes dans cette ville. On annonce que la pression sera basse jusqu’à la fin du mois. Est-ce ceci le moment de réaliser quelque chose? Que l’eau est une ressource qui manque? Il a plu peut-être deux ou trois fois depuis notre retour. C’est la sécheresse, rien d’extraordinaire. Mais nous continuons à arroser nos jardins, à laver nos voitures, à jeter l’eau dans la rue le matin pour rafraichir l’aire un petit peu. Celles-ci sont nos habitudes. Qu’est-ce qu’il manque pour prendre conscience que l’eau est en train de disparaître? Une idée qui me passe par la tête : Commémorer cette disparition dans les rues qui portent des noms des anciennes rivières, devenues depuis quelques décades des autoroutes. La rivière Churrubusco, par exemple, coulait au nord du petit village de Coyoacan, et rida Kahlo y a probablement fait des promenades quand elle était enfant. J’ai parlé avec une personne qui se souvient encore d’avoir vu coule ces eaux. Aujourd’hui, six voies d’asphalte se remplissent tous les matins avec des voitures. Le nom est resté.

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